Le BDSM est une pratique ancestrale assez répandue dans le monde contemporain. Combinaison de jeux érotiques et sexuels, il compte aujourd’hui de nombreux adeptes de plan SM en France et dans le monde entier. L’adaptation au cinéma d’œuvres culturelles telles que Fifty Shades of Grey de E.L. James ont joué un rôle prépondérant dans sa remise au goût du jour. Tenez-vous bien, car nous partons à la découverte de cette pratique et surtout de son guide initiatique pour les néophytes. Sans oubliez non plus d’aller sur le meilleur site d’annonces de rencontre BDSM pour tenter de nouvelles expériences coquines avec des experts en SM et des néophytes soumis ou pas qui veulent tout apprendre.
Le sigle BDSM mis pour bondage, discipline, domination, soumission, sadomasochisme correspond à l’ensemble des pratiques sexuelles déviantes, conduites sur la base du consentement de chaque partenaire. L’autre caractéristique essentielle du BDSM réside dans l’utilisation de la souffrance et des mises en scène de fantasmes sexuels.
Les pratiques du BDSM sont très variées. Il est aujourd’hui admis que près de 10 % des couples pratiquent les jeux ou scènes du BDSM. Il s’agit bien évidemment de gens ordinaires et qui vivent leur sexualité en tout temps. Le BSDM se pratique dans l’intimité du couple, généralement à la maison et obligatoirement entre adultes consentants. Il n’est en effet pas rare de constater la construction par certaines personnes d’un espace spécialement dédié.
Le BDSM comporte des nuances difficilement assimilables par un débutant. De façon basique, celui-ci conçoit mal l’idée de ressentir du plaisir dans la douleur et l’humiliation érotique. Retrouvez dans ce petit mode d’emploi, des astuces et des conseils pour vous initier au BDSM toute en douceur.
Il existe une technique connue de tous pour le faire : verser de la cire délicatement sur le corps et en particulier sur les zones sensibles du partenaire dominé. Pour ce faire, aucune nécessité de faire de grosses dépenses. Procurez-vous juste une bougie blanche en paraffine et faites-en l’expérience avec des températures (de deux ou trois degrés) supérieures à celle du corps.
Sont proscrits : la cire d’abeille, les bougies noires et les bougies fantaisies, afin d’éviter les risques de brûlures et d’irritation de la peau. Toutefois, vous pouvez trouver dans les boutiques SM des bougies de couleur noire ou rouge toujours aussi esthétiques. Pensez à protéger le visage de votre partenaire des éclaboussures pendant la pratique.
Le BDSM reposant sur la douleur et la souffrance, plus il y a de lanières et mieux c’est. Le martinet est un excellent outil pour créer un effet « warm-up » aphrodisiaque. Il possède cent lanières qui serviront à chauffer la peau de votre partenaire dans les règles de l’art.
Commencez par lui caresser la peau et à augmenter la puissance progressivement. Si vous réussissez cette étape, son corps devrait flotter en extase au bout d’une vingtaine de minutes.
Passez ensuite aux martinets plus percutants et aux lanières moins nombreuses afin de mieux cibler certaines parties du corps de votre partenaire comme les fesses. La flagellation est reconnue depuis l’antiquité comme étant un remède efficace contre l’impuissance et la baisse de libido.
Il existerait un point sensible (sweet spot) entre le haut de la cuisse et le début de la fesse, selon les dires de Wendy Delorme. Pour cet enseignant de cours de fessée chez DollHouse, lorsqu’on tapote ce point avec douceur puis avec vigueur, l’afflux sanguin engorge aussi la partie génitale. L’engorgement sanguin étant le point de départ de l’excitation sexuelle, la fessée est indispensable en pratique sadomaso pour faire grimper le plaisir.
Attention à ne pas y aller comme un boucher. Il faut faire preuve de sensualité et privilégier le contact peau à peau, juste avant de fesser plus fort. Pour ne pas avoir mal à la main, le port d’un gant en agneau ou l’utilisation du slapper est recommandé.
Le collier à clous ou à pointes est un signe de reconnaissance dans le milieu BDSM. Offrez-vous un collier de ce type si vous préférez dominer. Si au contraire, vous adorez la soumission, faites la demande d’un collier doté d’un petit anneau. Cela peut sembler voyant, certes, mais vous êtes uniquement entre vous deux.
Le collier à anneau est disponible au « rayon animal de compagnie » des supermarchés et même vendu avec sa laisse. Pour sortir au restaurant par exemple, arborez ces bijoux discrets qui ont l’avantage de jeter le trouble autour de vous et de votre personnalité.
En termes de pratiques BDSM, les fantasmes sont quasi illimités. Le port d’une cagoule permet de s’amuser à être quelqu’un d’autre. Cet accessoire peut vous donner l’air d’un prédateur ou d’un pauvre sexdoll destiné à satisfaire l’appétit sexuel d’un mâle dominant. À l’intérieur de la cagoule, vous développez une hypersensibilité, car privée de la vue et de l’ouïe.
Les pratiques du BDSM ont bien évolué dans le temps. Maintenant que vous êtes suffisamment initié(e) à ses joyeusetés, découvrons les différents jeux les plus usités de nos jours.
Le bondage est un grand classique du sadomasochisme. Il est l’illustration du comportement sexuel humain sadomaso par excellence. Le bondage consiste à lier les mains et même les pieds de son partenaire, toujours avec le consentement de celui-ci. Les adeptes de cette mise en scène font usage de plusieurs accessoires afin de pimenter l’expérience.
Dans le cadre d’un bondage, l’on pense systématiquement aux menottes, aux bâillons, aux cordes. D’aucuns installent parfois des camisoles ou des palans de suspensions. Tous les coups sont permis !
La momification consiste, dans le cadre du BDSM, à immobiliser l’autre partenaire grâce à de l’adhésif, de la cellophane, du film étirable, du latex, etc. Lorsque le procédé est exécuté, le soumis est complètement immobilisé et ne ressemble plus qu’à une momie égyptienne.
Le but est de le plonger dans un état de privation sensorielle à court terme ou de le stimuler par bondage. Il est important que cette pratique soit bien exécutée, car elle présente des risques avérés d’hyperthermie, de déshydratation, de strangulation, d’embolie ou d’étouffement.
Dans ce jeu de rôle, l’un des partenaires au moins est appelé à s’habiller ou à s’adapter aux comportements d’un équidé. Les soumis vont jusqu’à traîner un sulky alors que les dominateurs laissent libre cours à leur imagination. Ces derniers peuvent utiliser des harnais ou des cravaches. Une application maîtrisée de la cravache est conseillée parce que cet instrument de torture à la base est capable de déchirer une peau humaine comme un rasoir.
Cette mise en scène emporte un lot de soumissions assez important. Le mari cocu peut être forcé de regarder sa femme se faire attacher et bâillonner afin de renforcer son impuissance face à la situation. Le cocufié joue généralement un rôle passif dans ce jeu BDSM, mais peut être amené à s’impliquer plus ou moins activement.
Vous l’aurez sans doute déjà deviné, cette scène peut très vite déraper en partie à trois, ou plus selon les affinités.
Une pratique de BDSM japonaise qui consiste a attacher la personne avec des cordes et de façon précise. C’est une technique dangereuse, donc bien l’apprendre avant de le faire à votre partenaire. La pratique du Shibari est bien pour les personnes souples, c’est pour ce fait que c’est d’origine japonaise vu que les filles sont souvent souples et petites.
Conclusion : Le BDSM renferme différentes pratiques plus ou moins déviantes, mais qui convergent vers un objectif commun : faire et se faire plaisir en utilisant la contrainte et la douleur. Il s’agit de pratiques assez répandues dans le monde entier et qui, contrairement à ce que beaucoup peuvent s’imaginer, procurent un degré supérieur d’excitation sexuelle.
Outre, les jeux BDSM cités sur dessus, le viol théâtralisé, la sodomie, l’utilisation de jouets sexuels, l’urolagnie et le facesitting sont d’autres pratiques bien connues des sadomasochistes.